Les cadres lyonnais montent au créneau
L’ambiance se tend dans le vestiaire de l’Olympique Lyonnais. Après une semaine cauchemardesque, marquée par l’élimination en Ligue Europa et la défaite dans le derby, Alexandre Lacazette et Corentin Tolisso ont visiblement exprimé leurs frustrations face aux choix de Paulo Fonseca, selon le journaliste pour Le Progrès, Arnaud Clement. Le coach portugais, arrivé avec une réputation d’homme de projet, a bouleversé la hiérarchie en donnant notamment du poids à des joueurs comme Rayan Cherki, Georges Mikautadze ou Moussa Niakhaté.
Pour les anciens, ce virage a visiblement du mal à passer. Lacazette, capitaine emblématique, et Tolisso, champion du monde, peinent à accepter de voir leur influence diminuer au profit d’une nouvelle génération. Cette situation rappelle les difficultés de Fonseca à gérer les ego lors de son passage à l’AC Milan, où la gestion des cadres avait déjà fait débat.
Pour les anciens, ce virage a visiblement du mal à passer. Lacazette, capitaine emblématique, et Tolisso, champion du monde, peinent à accepter de voir leur influence diminuer au profit d’une nouvelle génération. Cette situation rappelle les difficultés de Fonseca à gérer les ego lors de son passage à l’AC Milan, où la gestion des cadres avait déjà fait débat.
Fonseca sous pression, l’OL au bord de la rupture
Les tensions se font donc de plus en plus palpables, alors que l’OL aborde un sprint final décisif pour l’Europe. Les choix récents du coach – titularisation de Paul Akouokou, relégation de Matic sur le banc, et confiance renouvelée à Cherki ou Mikautadze – sont vivement contestés en interne. Certains observateurs estiment que Fonseca a perdu la main auprès d'une partie du vestiaire, et que le risque d’implosion n'est clairement pas à exclure.
Dans ce contexte explosif, la direction, incarnée par John Textor, surveille de près la situation, alors même que le directeur général de l'OL, Laurent Prud'homme, pourrait être écarté.
Dans ce contexte explosif, la direction, incarnée par John Textor, surveille de près la situation, alors même que le directeur général de l'OL, Laurent Prud'homme, pourrait être écarté.