Nasri vs MSN : le PSG surclasse le Barça mythique
Une déclaration qui fait beaucoup parler sur les réseaux sociaux et à Marseille. Samir Nasri, pourtant formé à l'OM, a dans les colonnes de L’Équipe, fait part de son admiration pour le PSG version Luis Enrique : « Ce PSG dégage une plus grosse puissance collective que le Barça de Messi, Neymar et Suarez. » Un parallèle osé, alors que Luis Enrique tente d’écrire sa propre légende à Paris. Pour l’ancien milieu offensif, la clé réside dans l’agressivité à la perte de balle et la synchronisation tactique : « Je me demande parfois ce que font certains joueurs… puis je comprends que tout est calculé. »
Un compliment de taille pour une équipe qui arrive désormais à briller sans star et surtout sans Mbappé. « À la récupération, ils sont intraitables. J’ai rarement vu ça », insiste Nasri, soulignant le travail de pressing haut qui étouffe les adversaires.
Un compliment de taille pour une équipe qui arrive désormais à briller sans star et surtout sans Mbappé. « À la récupération, ils sont intraitables. J’ai rarement vu ça », insiste Nasri, soulignant le travail de pressing haut qui étouffe les adversaires.
Luis Enrique, architecte d’un PSG « sans ego »
Derrière cette machine bien huilée, un homme : Luis Enrique. L’Espagnol a su imposer un style exigeant, proche de celui de Guardiola, avec un groupe jeune et discipliné. « Personne n’est indispensable ici », analyse Nasri, saluant la capacité du coach à gérer les rotations sans crisper le vestiaire.
Un état d’esprit qui contraste avec l’ère Messi-Neymar-Mbappé, où les egos pesaient parfois sur le jeu. « Les stars ? Elles peuvent compliquer la tâche d’un coach », glisse Nasri, sous-entendant que le départ de KM7 a libéré l’équipe. Résultat : un collectif soudé, prêt à défier Aston Villa en Ligue des champions… et à viser plus haut.
Un état d’esprit qui contraste avec l’ère Messi-Neymar-Mbappé, où les egos pesaient parfois sur le jeu. « Les stars ? Elles peuvent compliquer la tâche d’un coach », glisse Nasri, sous-entendant que le départ de KM7 a libéré l’équipe. Résultat : un collectif soudé, prêt à défier Aston Villa en Ligue des champions… et à viser plus haut.